Cho ka ka o, cho cho cho chocolat
[c'est fou ce que je suis inspiré par les chanteuses à texte en ce moment...]
Il parait que Paques est une fête religieuse...Il parait, parce qu'en impie que je suis, Pâques se résume pour moi à la résurrection de mon estomac plutôt qu’à celle de Jésus.
Et encore, le terme résurrection est inexact car, contrairement à ceux qui font le Carême, je n'ai nullement jeûné au cours des semaines précédents Pâques. En fait, mon estomac n’a pas vraiment besoin de préparation ; les engloutissements de sucreries soudains et rapides, il connaît... [petite précision : je ne suis pas le bibendum Michelin pour autant (loin de là)]
Pourtant, cette année encore, je pensais que ma relation aux chocolats de Pâques se limiterait à les voir baver devant eux dans les rayons de supermarché.
Certes, je ne crois plus depuis longtemps au mythe des cloches qui au petit matin viennent lâcher leur sympathique cargaison dans les jardins ; mais après tout je ne crois plus non plus au Père Noêl et malgré tout, il continue à passer chaque année...
Néanmoins, après près de dix années d’oubli, les cloches ont pensé à moi cette année : quelques Kinder accompagnés des chocolats qui font fureur dans les réceptions de l’ambassadeur.
Pas de quoi faire une orgie non plus.
Par contre, à l’avenir, Mesdames les cloches, évitez le Kinder original parce qu’aujourd’hui c’est plus le jouet qui m’intéresse mais la quantité de chocolat disponible…
Bon c’était quand même pas si mauvais ; la preuve, j’ai déjà tout fini…
3 commentaires:
h moi, nada, j'ai rien eu du tout du tout .. :'(
mais si tu n'avais pas fait tomber ta banane dans le feu, tu aurais eu du chocolat... ;)
nianiania :p
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