L'affiche, version XXL
Mon horoscope m’avait pourtant prévu une bonne journée (bon ok j’y crois pas mais quand les prédictions sont intéressantes j’espère toujours un peu…). Le problème c’est que ce qui m’est arrivé n’avait pas grand-chose à voir avec ce que les astres avaient annoncé (message personnel aux astres : si vos prédictions pouvaient d’ailleurs se réaliser, I would be happy).
C’était sans doute plutôt lié aux nuits de 4h – et des poussières – que j’ai enchaîné depuis le début de la semaine, et qui me valent de finir ladite semaine avec la tête légèrement dans le cul.
Du coup, j’ai marché au radar toute la journée au boulot, non sans conséquences :
- j’ai failli me vautrer bien comme il faut, devant un large public of course (sinon ce serait pas drôle). Tout ça parce que je tentais de me reposer en m’appuyant contre un mobilier roulant, qui donc par définition bouge dés lors que s’exerce une poussée sur lui…loi physique élémentaire que j’avais juste oublié…
- j’ai mis entre ½ h (estimation très optimiste) et plusieurs heures (toute la matinée ???!!!) pour me rendre compte que j’avais laissé ma braguette ouverte. Très classe vu mon poste où il faut être « impeccable » en toutes circonstances. Et ça n’est jamais que la 2ème fois de la semaine…
- et pour couronner le tout, la bonne grosse honte chez Mc Do à midi, que j’appellerai « l’effet frite » (au sens figuré). Alors que je tentais de dissimuler un phénomène bien connu des garçons (qui leur est d’ailleurs exclusif), que l’on ne contrôle pas toujours (en plus pour le coup je peux pas dire que j’étais excité), par divers artifices (vas y que je tiens mon plateau et mes effets personnels le plus bas possible), j’ai eu la bonne idée de faire tomber mon plateau, le tout dans un bruit propice à attirer l’attention de toute la salle, qui s’est donc naturellement empressée de tourner ses regards vers ma personne, dans un beau mouvement unanime. Pour une sortie qui se voulait discrète, c’était très réussi…Le tout dans ces cas là, c’est de partir tête haute, comme si de rien n’était…
La journée n’étant pas finie, que va-t-il m’arriver ce soir ?
C’était sans doute plutôt lié aux nuits de 4h – et des poussières – que j’ai enchaîné depuis le début de la semaine, et qui me valent de finir ladite semaine avec la tête légèrement dans le cul.
Du coup, j’ai marché au radar toute la journée au boulot, non sans conséquences :
- j’ai failli me vautrer bien comme il faut, devant un large public of course (sinon ce serait pas drôle). Tout ça parce que je tentais de me reposer en m’appuyant contre un mobilier roulant, qui donc par définition bouge dés lors que s’exerce une poussée sur lui…loi physique élémentaire que j’avais juste oublié…
- j’ai mis entre ½ h (estimation très optimiste) et plusieurs heures (toute la matinée ???!!!) pour me rendre compte que j’avais laissé ma braguette ouverte. Très classe vu mon poste où il faut être « impeccable » en toutes circonstances. Et ça n’est jamais que la 2ème fois de la semaine…
- et pour couronner le tout, la bonne grosse honte chez Mc Do à midi, que j’appellerai « l’effet frite » (au sens figuré). Alors que je tentais de dissimuler un phénomène bien connu des garçons (qui leur est d’ailleurs exclusif), que l’on ne contrôle pas toujours (en plus pour le coup je peux pas dire que j’étais excité), par divers artifices (vas y que je tiens mon plateau et mes effets personnels le plus bas possible), j’ai eu la bonne idée de faire tomber mon plateau, le tout dans un bruit propice à attirer l’attention de toute la salle, qui s’est donc naturellement empressée de tourner ses regards vers ma personne, dans un beau mouvement unanime. Pour une sortie qui se voulait discrète, c’était très réussi…Le tout dans ces cas là, c’est de partir tête haute, comme si de rien n’était…
La journée n’étant pas finie, que va-t-il m’arriver ce soir ?
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