mardi 24 avril 2007

Absolut Boris

On se souviendra de lui certes comme le premier président de la Russie mais aussi pour son côté bon vivant qui a fait les bonnes heures des bêtisiers et autres zappings. Lui l'alcoolique non anonyme, capable de pousser la chansonnette à la fin d'un meeting ou de déclencher par ses paroles un fou rire peu diplomatique chez Bill Clinton. Et le pire c'est qu'il n'est même pas mort d'une cirrhose alors qu'il était champion du monde en lever de coude. Pas russe pour rien; ça doit être génétique dirait Sarkozy. Alors ce soir, pour noyer mon chagrin, je lève mon verre ma bouteille à ta mémoire Kamarad Boris ! Et je m'associe à cet hommage signé La Bande à Fifi:




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