Sous les pavés, la plage...et la glande.
Je ne vais pas faire très original ce soir – l’inspiration est un peu en vacances ces temps ci – mais bon, après Vélib’, il fallait que je remercie Bertrand D. pour une autre de ses initiatives quelque peu décriée elle aussi à ses débuts et finalement plébiscitée: Paris-Plage.
Profitant d’une journée de repos et du soleil qui a enfin daigné s’attarder, j’ai donc enfin pu goûter véritablement à the beach-on-the-seine qui, semaine oblige, avait moins un air d’autoroute (certes des vacances mais autoroute quand même) que ces derniers week ends.
Ayant pas mal d’heures de sommeil à rattraper, j’ai fait illusion 5 min en sortant mon journal avant de sombrer dans une léthargie-sieste profonde qui a fait de moi un lézard pour le reste de cette fin d’après midi. Mais dieu que c’était bon. Heureusement que j’ai eu une fringale soudaine de macaron pour me motiver à me lever car sinon je faisais la fermeture.
Alors certes, Paris-Plage c’est parfois le quai de métro à l’heure de pointe, ça ferme un peu tôt (minuit), ce sont des aménagements pas nécessairement extraordinaires (au moins la circulation est coupée en permanence), c’est le sable sans la mer…mais c’est aussi un petit air de vacances dans la ville (et l’unique destination pour certains qui n’en ont pas les moyens), un mélange de tous les styles (et non pas uniquement une réserve à bobos) et l’occasion de passer quelques moments bien agréables, entre farniente, matage, pique-niquage, etc...
Profitant d’une journée de repos et du soleil qui a enfin daigné s’attarder, j’ai donc enfin pu goûter véritablement à the beach-on-the-seine qui, semaine oblige, avait moins un air d’autoroute (certes des vacances mais autoroute quand même) que ces derniers week ends.
Ayant pas mal d’heures de sommeil à rattraper, j’ai fait illusion 5 min en sortant mon journal avant de sombrer dans une léthargie-sieste profonde qui a fait de moi un lézard pour le reste de cette fin d’après midi. Mais dieu que c’était bon. Heureusement que j’ai eu une fringale soudaine de macaron pour me motiver à me lever car sinon je faisais la fermeture.
Alors certes, Paris-Plage c’est parfois le quai de métro à l’heure de pointe, ça ferme un peu tôt (minuit), ce sont des aménagements pas nécessairement extraordinaires (au moins la circulation est coupée en permanence), c’est le sable sans la mer…mais c’est aussi un petit air de vacances dans la ville (et l’unique destination pour certains qui n’en ont pas les moyens), un mélange de tous les styles (et non pas uniquement une réserve à bobos) et l’occasion de passer quelques moments bien agréables, entre farniente, matage, pique-niquage, etc...
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